Une fois que l'on veut avoir une réponse aussi fidèle à une question quelconque, il faut envisager une pré-question qui serait : Est-ce qu'on est prêt à admettre une situation qui nous est nouvelle, empreintée de plusieurs cachets, dont le changement et la reconceptualisation ? On pensera toujours à ce que toute question, cette fois-ci signifiant affaire ou problème, a quelque chose de fin, d'épineux. Vouloir trancher d'une question comme si l'on avait une baguette magique à la main ne serait que synonyme quasi-identique de macache. La chose est nette, claire et précise : l'enseignement du français en préparatoire est comme toutes les choses une arme à double tranchant. À proprement dit, ça peut être fort utile , ou inversement peut ne mener à rien. Toute méthode de français est plus ou moins utile tant qu'on s'en sert aussi judicieusement qu'adroitement. Élèves, professeurs, établissements se trouvent dans l'obligation de se montrer à la hauteur d'un gigantesque projet. Il va de soi qu'un plan de programmation et de reprogrammation éventuelle est à ébaucher d'avance. Pour ce qui est de l'aptitude de l'élève à pouvoir assimiler une autre langue étrangère, je dirai que c'est facile comme bonjour. On n'a qu'à examiner le cas des élèves en Occident, en Amérique ou au Canada pour se rendre compte qu'on peut apprendre trois ou quatre langues simultanément et aisément, juste en bien planifiant et en posant des jalons. Je coupe court là, espérant avoir éclairci plus ou moins le sujet en question
Enfin bref, bon courage , toujours en avant et surtout travaillez au mieux